mercredi 24 octobre 2012


J'interviens dans deux conférences au Salon Cloud & IT Expo à Paris, Porte de Versailles, mercredi 24 octobre et jeudi 25 octobre 2012:

Pourquoi et sur quoi les entreprises questionnent-elles la sécurité du cloud computing ? (Mercredi 24 octobre 2012, 11h50 Salle Picasso):

http://www.cloud-and-it-expo.fr/animation_14_1121_1854_p.html?cid=1455


Sécurité chez un fournisseur de cloud ? Avant, pendant, après… c’est aussi l’affaire du client
(Jeudi 25 octobre 2012, 10h45 Salle Picasso):


http://www.cloud-and-it-expo.fr/animation_14_1121_1854_p.html?cid=1463

jeudi 27 septembre 2012

Intervention lors de la Conférence Annuelle de l'IBA à Dublin

 
Intervention lors de la Conférence Annuelle de l'IBA à Dublin

J'ai l'honneur d'avoir été conviée à participer la semaine prochaine à la Conférence Annuelle de l'International Bar Association à Dublin, Irelande.

Lundi 1er octobre matin, je serai co-modérateur d'une table ronde de discussions organisée par la Section commerce international, franchise internationale et droit des produits et de la publicité sur le sujet suivant:

Applications, plateformes et mobiles - conséquences pour les contrats de franchise internationaux.







Voici un lien vers le Programme final.


jeudi 7 juin 2012

01 Informatique du 02 Juin 2011

Comme elle le propose régulièrement, la rédaction de 01 Informatique sort un dossier spécial "Green IT" dans son premier numéro de Juin.

J'ai été interrogée. Le numéro est téléchargeable sur Zinio.
 

vendredi 27 avril 2012

Le décret RSE est paru au JO


"Le décret RSE est paru au JO

Soumis à consultation il y a plus d'un an, le décret relatif aux obligations de transparence des entreprises de plus de 500 salariés en matière sociale et environnementale (RSE) est paru ce jeudi 26 avril au Journal officiel.

Signé le 24 avril, le décret d'application de l'article 225 de la loi Grenelle 2, étendant l'obligation de reporting environnemental et social des entreprises, se faisait attendre depuis le projet de texte soumis à consultation en mars 2011. Un an après, la version initiale s'est vue allégée par la loi Warsmann de simplification du droit et d'allègement des démarches administratives publiée en mars 2012.

A été conservée dans le décret : la distinction relancée dans la loi Warsmann entre entreprises cotées et non cotées pour les obligations de rapport annuel sociétal, malgré l'avis défavorable du Conseil d'Etat en mai 2011. La loi sur les Nouvelles Régulations Economiques (NRE) de 2001 demandait déjà aux 700 entreprises françaises cotées sur le marché de publier ce rapport. Figure aussi la suppression demandée dans la loi des rapports produits par les filiales.

Quels seuils et calendrier d'application ?

L'obligation de reporting RSE, initialement prévue dès l'exercice 2011 dans le projet de décret pour les entreprises de plus de 5.000 salariés, a été reportée d'un an conformément à la loi Warsmann.

Concrètement : les entreprises cotées et celles non cotées de plus de 5.000 salariés permanents (et 1 milliard d'euros de total de bilan ou de CA annuel) produiront ce rapport pour les exercices ouverts après le 31 décembre 2011 avec obligation pour la société de justifier, le cas échéant, les raisons pour lesquelles elle s'est trouvée dans l'impossibilité de fournir certaines des informations.

Les entreprises non cotées de plus de 2.000 salariés (400M€ de total de bilan ou de CA annuel) commenceront pour les exercices clos après le 31 décembre 2012. Et celles non cotées de plus de 500 salariés (et 100M€ de total de bilan ou de CA) pour les exercices clos après le 31 décembre 2013.

Informations contrôlées par des organismes tiers indépendants

Conformément au texte initial, les rapports devront désormais être certifiés par un organisme tiers indépendant accrédité notamment par le Comité français d'accréditation (Cofrac). L'organisme sera chargé de vérifier les données exigées de toutes les entreprises concernées pour les informations sociales (emploi, organisation du travail, relations sociales, santé et sécurité, formation, égalité de traitement), environnementales (politique générale en matière environnementale, pollution et gestion des déchets, utilisation durable des ressources, changement climatique, protection de la biodiversité) et enfin pour les informations relatives aux engagements sociétaux en faveur du développement durable (impact territorial, économique et social de l'activité de la société; relations entretenues avec les personnes ou les organisations intéressées par l'activité de la société).

S'agissant de l'obligation de vérification des informations par cet organisme, le décret est applicable pour les sociétés cotées à partir de l'exercice ouvert après le 31 décembre 2011 et pour celles non cotées à partir de l'exercice clos au 31 décembre 2016."

lundi 27 février 2012

mardi 14 février 2012

Monsanto jugé responsable de l'intoxication d'un agriculteur

Monsanto jugé responsable de l'intoxication d'un agriculteur / Justice / Actualité / univers / journal / Lyon Capitale - le journal de l'actualité de Lyon et du Grand Lyon.

Lundi 13 février, le tribunal de grande instance de Lyon a jugé Monsanto, géant américain des produits phytosanitaires dont le siège français est à Bron (69), responsable de l'intoxication d'un agriculteur.

Il ne s'agit que d'une décision de première instance, qui ordonne une expertise. Monsanto a annoncé son intention de faire appel ce mardi.

Cependant on peut considérer cela comme très encourageant pour la suite.


mardi 7 février 2012

RESTOS DU COEUR - UN CLIC DE SOUTIEN

www.planetevegetal.com

 Une action du coeur pour 10 secondes de votre temps !

Je vous invite à commencer l'année avec une bonne action :

Allez sur le site www.planetevegetal.com (grossiste en
légumes), cliquez sur le logo des Restos du Coeur, répondez à la
question (facile! et posée uniquement pout éviter les robots
malveillants) et ainsi, les Restos du Coeur reçoivent 2 kg de légumes
de votre part...
 

Le site s'engage à donner jusqu'à 40 tonnes de légumes.

mercredi 1 février 2012

NKM : plus de 100 pays pour une Organisation mondiale de l'Environnement

NKM : plus de 100 pays pour une Organisation mondiale de l'Environnement


"PARIS - La ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, s'est réjouie mardi que plus d'une centaine de pays soient favorables à la création d'une Organisation mondiale de l'environnement (OME) que la France veut voir émerger de la Conférence Rio+20 en juin.

Ouvrant mardi une conférence sur la nouvelle gouvernance mondiale de l'environnement à Paris, la ministre a dit qu'il fallait donner un nouvel élan aux négociations sur l'environnement.

Rio+20, 20 ans après le Sommet de la terre, ne sera un succès que si on propose une réforme de la gouvernance mondiale et un renforcement de son pilier environnemental, a-t-elle ajouté.

Elle a plaidé une nouvelle fois pour une OME qui soit une organisation spécialisée pour remplacer le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) à laquelle sont favorables, selon elle, plus d'une centaine de pays.

Cette nouvelle agence doit apporter des solutions solidaires et durables, être ouverte à tous les Etats, appuyer sa légitimité sur les scientifiques et offrir une vision claire et précise des priorités, a-t-elle précisé.

La ministre de l'Ecologie a insisté sur la nécessité d'y associer toutes les catégories d'acteurs, élus, société civile et entreprises entre autres. Une vraie gouvernance universelle doit les faire dialoguer, elle ne peut pas tolérer une vision partielle, a-t-elle dit, ajoutant qu'il faut faire émerger une nouvelle dynamique.

La crise actuelle doit être l'occasion de fonder un nouveau modèle, a-t-elle estimé. Le nouveau capitalisme né de la crise sera environnemental ou ne sera pas, a-t-elle ajouté.

La conférence, qui se tient au siège du Conseil économique, social et environnemental à Paris est organisée par les ministères de l'Ecologie et des Affaires étrangères. Alain Juppé n'a toutefois pas pu y participer car il a dû se rendre au Conseil de Sécurité de l'ONU à New York qui cherche les moyens de mettre fin au bain de sang en Syrie."


(©AFP / 31 janvier 2012 11h37)
http://www.metrofrance.com/info/nkm-defenseure-de-la-terre/mlaD!N7IOOSeTyvCU/

Encore récemment, l'idée était évoquée sur le site du ministère de l'environnement en septembre 2011: http://www.developpement-durable.gouv.fr/RIO-20-la-France-soutient-la.html
En vidéo: NKM : pour une Organisation mondiale de l'environnement a Rio+20 - Médiaterre France

Cela fait de nombreuses années que l'idée est évoquée par les responsables politiques (Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy...).

Toujours plus proches de sa réalisation?

mercredi 18 janvier 2012

jeudi 12 janvier 2012

Lacq : la dette fiscale de Total effacee par la loi de finances

Lacq : la dette fiscale de Total effacee par la loi de finances, Actu-Environnement.com, 09/01/12


par Philippe Collet


La loi de finances exonere de TGAP l'operateur d'un ancien site gazier a Lacq. L'article, defendu par le depute local, declenche la colere des ONG, notamment parce qu'il effacerait une dette fiscale liee a un jugement du TGI de Paris. Explications.

Depuis 1975, les usines situees sur la plate forme de Lacq (Pyrenees-Atlantiques) et la plate-forme chimique de la Societe bearnaise de gestion industrielle (Sobegi) ont l'autorisation d'injecter "des effluents aqueux issus de l'exploitation gaziere, de la chimie du soufre et de la chimie fine (pharmacie et cosmetologie) dans les couches profondes du Cretace du bassin de Lacq [site baptise cretace 4000]", rappelle le Plan de reduction et d'elimination des dechets dangereux en Aquitaine (Predda), precisant que "les effluents injectes sont constitues soit de charges salines, contenant de petites quantites de matiere organique (effluents qui ne sont pas traitables dans une station d'epuration), soit d'effluents contenant des composes soufres fortement odorants dont le traitement en surface genererait des operations de manipulation et de transport tres delicates".

Avec la loi de finances 2012, le site cretace 4000 beneficie d'une exoneration de la taxe generale sur les activites polluantes (TGAP) suite a l'adoption d'un amendement depose par le depute David Habib (PS, Pyrenees-Atlantiques). Une exoneration qui met sur le devant de la scene un contentieux relatif a la nature des produits enfouis dans le sous-sol et qui souleve l'ire des associations France nature environnement (FNE) et Robin des bois.

De l'eau salee…

"Ce n'est pas une activite polluante : c'est simplement de l'eau salee", a defendu le depute lors de la discussion de son amendement, deplorant qu'aucun fleuve ne passe a proximite afin d'y diluer ces effluents. "L'enjeu n'est pas mediocre : l'assujettissement a cette taxe mettra en peril 200 emplois", avance l'elu, precisant que "cette annee [etant] celle de l'extinction de ce gisement", il a sollicite "la solidarite nationale pour pouvoir poursuivre, au-dela de l'extraction du gaz, [les] activites de chimie".

Des arguments qui ont convaincu Gilles Carrez, depute socialiste du Val-de-Marne et rapporteur general de la commission finances de l'Assemblee, ainsi que le gouvernement. "Toute taxe qui met en danger ne serait-ce qu'un emploi industriel dans notre pays doit etre bannie", a explique Gilles Carrez. Quant au gouvernement, represente par Valerie Pecresse, ministre du Budget, il a emis un avis favorable : "le petit cœur sensible qui continue a battre dans le cœur de la ministre du budget estime qu'en effet ces effluents liquides doivent rester exoneres de la TGAP".

…ou des dechets ?

Reste que la nature des effluents liquides est contestee : si l'elu des Pyrenees-Atlantiques n'y voit que des eaux salees, "ce n'est (…) pas l'avis des douanes qui assimilent les rejets – jusqu'a 1.000 m3 par jour - a des dechets industriels", rapporte Robin des Bois qui precise que "les dechets liquides injectes contiennent des hydrocarbures, des metaux lourds, des residus soufres et des phenols, les cyanures [etant] theoriquement surveilles".

En avril 2009, David Habib soulevait deja le sujet a l'occasion d'une question posee au ministre de l'Economie. Le depute expliquait alors que la direction generale des douanes, considerant qu'il s'agissait de dechets, souhaitait appliquer la TGAP aux injections d'effluents. "L'augmentation de la TGAP, proposee dans le cadre du Grenelle de l'environnement, voit le montant de cette taxe passer de moins de 10 euros l'annee derniere, a 20 euros par tonne de dechets cette annee, pour arriver a 40 euros par tonne en 2015", deplorait alors l'elu s'inquietant d'une hausse des charges d'exploitations des societes visees.

L'elu demandait alors a la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, "de bien vouloir intervenir pour que soit examinee la possibilite de ne pas classer ces injections d'effluents en dechets".

4,4 millions d'euros de dette fiscale

La demande du depute a finalement ete rejetee en mars 2010 par la ministre au motif que "la problematique sur le caractere ou non de dechet des injections d'effluents en cretace 4000 a ete portee par la societe concernee devant la justice civile". Un recours forme par "les juristes de Total" devant le tribunal de grande instance de Paris, rapporte FNE precisant que "le tribunal, par jugement du 8 avril 2011, avait bien condamne Total a payer 4.438.692 d'euros a l'Etat".

En tant que President de la communaute de communes de Lacq (CCL), David Habib a ete informe du litige par une lettre transmise par la direction de Total exploration et production France. Lettre dont il a "fait part du contenu (…) concernant le contentieux opposant la societe aux Douanes sur le sujet de la TGAP", rapporte le compte rendu du bureau de la CCL tenu le 1er juin 2011.

"Le gouvernement et les deputes viennent d'effacer par l'article 22 de la loi de finances cette jolie dette", estime FNE suite a l'adoption de l'amendement depose par l'elu bearnais. Quant a Robin des Bois, au dela de la dette fiscale, il pointe un "manque a gagner pour les finances publiques (…) estime a 1,5 million d'euros par an".





Sur le meme sujet :

Lacq : la dette fiscale de Total effacee par la loi de finances, Actu-Environnement.com, 09/01/12

mardi 10 janvier 2012

La Fondation pour la Nature et l'Homme (ex-Fondation Nicolas Hulot) vient de publier un état des lieux sur le photovoltaïque.

"Un nouvel éclairage sur l'énergie solaire photovoltaïque est apporté par la Fondation qui publie un "Etat des lieux et analyses" sur le sujet.

Quels sont ses enjeux ? Quel est son potentiel dans un contexte de crise climatique et énergétique ?

Cette analyse de cent pages scindées en 10 fiches thématiques permet d'y répondre à l'aide d'éléments factuels et d'études scientifiques récentes.

Si vous souhaitez savoir si le solaire photovoltaïque peut constituer une alternative de choix assurant l'accès à une énergie durable pour tous, téléchargez la publication. "


http://www.fondation-nature-homme.org/sites/default/files/pdf/etat_des_lieux_photovoltaique_1111.pdf

mercredi 4 janvier 2012




L'Atelier « Green IT, Environnement et Technologies » organise une conférence sur le thème :
Green IT & IT for green : Solutions pratiques et questions juridiques »

Mardi 10 janvier 2012 de 9h à 12 h à la Maison du Barreau, salle Monnerville (2/4 rue de Harlay, Paris 1er )

animée par Olivia Gast, avocat à la Cour et
Pascal Paysant, consultant RSE et IT, co-responsables de cet atelier


LieuParis
DateLe 10 janvier 2012
Prix35 €
L’Association pour le développement de l’informatique juridique (ADIJ), organise le Mardi 10 janvier 2012 de 9h à 12h à la Maison du Barreau de Paris, une conférence sur le thème « Green IT & IT for green : Solutions pratiques et questions juridiques».

Cette conférence sera animée par Olivia Gast, avocat à la Cour et Pascal Paysant, consultant RSE et IT, co-responsables de cet atelier.

Intervenants :

- Cédric Gossart, PhD, Maître de conférences à Télécom Ecole de Management de l’Institut Télécom 
- Thierry Rudowski, de la Société ZenTo, spécialiste du conseil informatique et environnemental - Pierre-Nicodème Taslé, PDG de la société Bee-Buzziness (SSII de virtualisation et enrichissement de documents)
- Sophie Bouteiller, Directrice de mission, responsable des partenariats au CIGREF
- Olivia GAST, Avocat à la Cour


Thématique :

- Présentation du green IT en France
- Panorama des solutions possibles en Green-IT et IT for Green
- Retour d’expérience pratique
- Présentation de la position du CIGREF (réseau de grandes entreprises qui a pour mission de « promouvoir la culture numérique comme source d’innovation et de performance »)
- Aspects juridiques
- Débat avec la salle

Paf : 35 € par personne (gratuit pour les membres de l’ADIJ).

Renseignements : http://www.adij.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=7&Itemid…

Cette manifestation est validée au titre de la formation continue obligatoire des avocats.

Inscriptions et renseignements : Pascal PETITCOLLOT Président de l’ADIJ (e-mail : coordination-adij @ adij.fr)

lundi 2 janvier 2012

Je vous souhaite une année 2012 pleine de santé, de réussite et de joies.